Numéro |
Reflets phys.
Numéro 53, Mai 2017
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Page(s) | 14 - 19 | |
Section | Avancées de la recherche | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/201753014 | |
Publié en ligne | 30 mai 2017 |
Mise en relief des jardins chimiques par confinement
1
Université libre de Bruxelles (ULB), Unité de Chimie Physique Non Linéaire, CP 231, Faculté des Sciences, 1050 Bruxelles, Belgique
2
Institut Langevin, Laboratoire Ondes et Images (LOA), UMR CNRS 7587-ESPCI, 5 rue Jussieu, 75005 Paris
3
Laboratoire de Physique et Mécanique des Milieux Hétérogènes (PMMH), UMR CNRS 7636-ESPCI-UPMC-UPD, 10 rue Vauquelin, 75005 Paris
La nature crée des formes fascinantes comme les « jardins chimiques », structures minérales rappelant de frêles brindilles miniatures. Ces jardins, façonnés par une réaction de précipitation, interpellent depuis des siècles par leur beauté tant admirée par le public des fêtes de la science [1]. Les jardins chimiques pourraient être une clé vers de nouvelles applications en science des matériaux, en catalyse, voire dans la compréhension de l’origine de la vie sur Terre.
Nous avons pu obtenir une grande variété de formes de ces jardins par des réactions chimiques en milieu confiné (fig.1). Notre étude permet de mieux comprendre la croissance de matériaux solides en condition de non-équilibre.
© SFP 2017
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