Numéro |
Reflets phys.
Numéro 8, mars 2008
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Page(s) | 17 - 20 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp:2008003 | |
Publié en ligne | 1 janvier 2009 |
L’insoutenable légèreté du halo
CEA/DAM Île-de-France, 91680 Bruyères-le-Châtel
Auteur de correspondance : jean-luc.sida@cea.fr
Il ne faut pas moins qu’une étoile ou bien qu’un « tokamak » pour réussir à faire fusionner une population de noyaux, à cause de la forte répulsion coulombienne qui les repousse loin les uns des autres. Dans nos laboratoires, nous pouvons étudier le processus de fusion de couples de noyaux en utilisant un accélérateur de particules. Cette étude est particulièrement intéressante aux énergies pour lesquelles le processus se produit par effet tunnel. Ce processus a été étudié dans les années 1980 pour les noyaux stables. Nous présentons ici l’une des premières études faites pour des noyaux étranges, découverts à la fin des années 80 : les noyaux à halo.
© SFP, 2008
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