Numéro |
Reflets phys.
Numéro 80, Avril 2025
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Page(s) | 52 - 55 | |
Section | Histoire des sciences | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/202580052 | |
Publié en ligne | 12 mai 2025 |
Quand la découverte des courants neutres faibles révolutionna la physique des particules
1
Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie (IJCLab), Université Paris-Saclay et CNRS/IN2P3, Bât, 100, 15 rue Georges Clémenceau, 91405 Orsay Cedex
2
Laboratoire d’Annecy-le-Vieux de Physique des Particules (LAPP), Université de Savoie et CNRS/IN2P3, 9 chemin de Bellevue, BP 110, Annecy le Vieux, 74941 Annecy Cedex
Les particules subatomiques sont soumises à différents types de forces (forte, électromagnétique, faible et gravitationnelle). Dans le cas de la force faible, l’interaction est due à l’échange de bosons intermédiaires chargés (W+, W-) et neutres (Z0), d'où les noms de « courants chargés » et de « courants neutres ».
Lorsque la découverte de l’existence des « courants neutres faibles » a été publiée en 1973 [1, 2] par l’expérience Gargamelle installée au CERN, la communauté de physique des hautes énergies s’est montrée incrédule. Il lui a fallu un an pour reconnaitre cette découverte, qui a marqué le début d’une ère nouvelle dans la compréhension des interactions fondamentales, et a permis l’élaboration du « Modèle Standard » de la physique des particules.
© SFP 2025
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