Numéro |
Reflets phys.
Numéro 79, Octobre 2024
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Page(s) | 32 - 37 | |
Section | Science et société | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/202479032 | |
Publié en ligne | 22 novembre 2024 |
Implications des taux de retour énergétique pour la transition bas-carbone
Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (INRIA), équipe STEEP 655, avenue de l’Europe, 38330 Montbonnot-Saint-Martin
* louis.delannoy@inria.fr
** pierre-yves.longaretti@inria.fr
*** emmanuel.prados@inria.fr
La conversion de l’énergie nécessite elle-même de l’énergie, une contrainte évaluée à travers le concept d’EROI (“Energy Return on Investment”). Différentes versions de cet indicateur sont couramment utilisées pour mesurer l’utilité comparative de vecteurs énergétiques et évaluer des scénarios de transition vers les énergies à faible teneur en carbone. L’absence de méthodologie formelle avant les années 2010 a conduit à de fréquents malentendus sur le calcul et les incidences de l’EROI, notamment en ce qui concerne la faisabilité de la transition.
Pour remédier à cette situation, nous résumons les points clés qui se rapprochent d’un consensus actuel autour de l’EROI et discutons de leurs implications vis-à-vis de la transition bas-carbone.
© SFP 2024
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