Numéro |
Reflets phys.
Numéro 63, Octobre 2019
Physique et matériaux anciens
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Page(s) | 54 - 59 | |
Section | Explorer le terrain | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/201963054 | |
Publié en ligne | 25 novembre 2019 |
Physique de l’archéomagnétisme pour la datation de bâtiments du haut Moyen Âge
Institut de recherche sur les archéomatériaux (IRAMAT-CRP2A, UMR CNRS 5060, Université Bordeaux-Montaigne) et Université Rennes 1 CRP2A, Maison de l’archéologie, Esplanade des Antilles, 33607 Pessac Cedex
* philippe.lanos@univ-rennes1.fr
La physique de l’archéomagnétisme, basée sur la mesure des aimantations thermorémanentes et sur l’étude du champ magnétique terrestre dans le passé, permet de dater les terres cuites archéologiques restées en place depuis leur dernière cuisson, mais aussi celles qui ont été déplacées depuis leur lieu de fabrication jusqu’au lieu de la construction.
La datation de monuments du haut Moyen Âge a permis de nouvelles interprétations des mesures d’aimantation effectuées sur les briques mises en œuvre dans les maçonneries. Ces avancées récentes sont illustrées ici dans le cas de la tour-clocher de la collégiale Saint‑Martin à Angers.
© SFP 2019
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