Numéro |
Reflets phys.
Numéro 40, juillet-août 2014
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Page(s) | 31 - 34 | |
Section | Science et société | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/201440031 | |
Publié en ligne | 7 août 2014 |
Consommation d’énergie et rejet d’entropie dans la biosphère
School of Physics and Astronomy, Faculty of Exact Sciences, Tel Aviv University, Ramat Aviv, Israël
On a longtemps soutenu que les réserves limitées en combustibles fossiles représentaient un problème majeur, qui se manifesterait bientôt sous la forme de pics de production, suivis d’un déclin inéluctable. Cette crainte d’une crise imminente de l’énergie nous paraît exagérée. Ce qui nous menace dans le court terme c’est plutôt la pollution de l’air, de l’eau et des sols, ainsi que les changements climatiques induits par une montée spectaculaire de la concentration atmosphérique en CO2. Ces phénomènes dangereux pour la vie sont tous des manifestations d’une rupture d’équilibre, l’énergie solaire reçue n’étant plus suffisante pour compenser l’augmentation d’entropie générée par les activités humaines.
© SFP 2014
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