Numéro |
Reflets phys.
Numéro 6, octobre 2007
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Page(s) | 12 - 15 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/2007062 | |
Publié en ligne | 15 mars 2010 |
Cellules solaires en couches minces à base de silicium
Laboratoire de Physique des Interfaces et des Couches Minces, École Polytechnique, 91128 Palaiseau Cedex
Parallèlement à la filière dominante du silicium cristallin, et afin de réduire les coûts de manière substantielle, les chercheurs synthétisent, depuis une trentaine d'années, des cellules basées sur le silicium désordonné homogène (amorphe) ou inhomogène (nanocristallin, polymorphe). Dans ces structures, déposées à basse température sur des substrats peu chers (verre, plastique), l'hydrogène joue un rôle fondamental. En combinant les différents alliages Si-Ge ou Si-C, on est capable de réaliser des cellules à multijonctions, répondant de mieux en mieux au spectre solaire et devenant plus stables en fonction du temps.
© SFP 2007
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