Numéro |
Reflets phys.
Numéro 3, mars 2007
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Page(s) | 5 - 9 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/refdp/2007043 | |
Publié en ligne | 1 mars 2009 |
Craquelures dans les couches picturales des peintures d’art
1
Laboratoire Fluides, Automatique et Systèmes Thermiques, Université Paris 11, 91405 Orsay
2
Laboratoire de Modélisation en Mécanique, Université Pierre et Marie Curie, 75005 Paris
3
Laboratoire Matière et Systèmes Complexes, Université Denis Diderot, 75005 Paris
4
Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France, Palais du Louvre, 75001 Paris
Auteur de correspondance : pauchard@fast.u-psud.fr
Les craquelures dans les couches picturales sont depuis longtemps un moyen de juger l’authenticité des peintures d’art et de retracer la manière dont l’artiste a œuvré. Nous avons étudié les figures de craquelures dans la série de peintures de Georges de La Tour consacrée aux Apôtres, pour laquelle peintures de l’artiste et copies n’ont pas été clairement dissociées jusqu’à présent. Nous nous sommes basés sur des expériences modèles de séchage de suspensions colloïdales, qui aident à comprendre les morphologies des craquelures observées sur les œuvres réelles.
© SFP, 2007
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